Quand je partirais
18/08/2010
Ecrit par evangelia fourlis
Photo d’eva
Quand je partirais
Je veux des harpes et des violons
Que leurs notes sèment
Une musique enfleurée
Que tous espoirs vogue très loin a travers les forets,
Sur les libres eaux de la mer,
Et s’envolent autour de la terre
Que tout les poètes rhapsodies y posent
Aux pieds des montagnes qu’ils y apposent
Quand je partirais
ca sera une belle journée
du soleil d’ Émeraude
Et le soir étoilé en perle de diamant
Une nuit chaude…..
Le sol ne portera que leurs fruits
D’un coin secret du paradis
Et le vent du sud viendra
Torride, plein de vie …
Quand je partirais
Au loin, Quelque part,
Mes souhaits feront un arc en ciel
Pour la randonnée de notre existence
Qui a étais toujours amer et sans patience
Pour les vérités qui ne sont jamais restés
Pour toutes sincérités qui ne sont jamais aimés
Quand je partirais
Je me souviendrai du silence insondable
Des routes qui se croisaient
Avec les timides lumières qui se propageaient
Par la couronne de l'aube….
Les nuits avec des rêves cachés qui me poursuivaient …
Quand je partirais
Comme un ermite qui traversé l’ombre
Dans un soir qui était vraiment
Je me souviendrai que
J’ai rencontré pour un moment
Des parcours de l'homme dans le temps ….
Mes rêves passagers
De que tu as vêtu le cœur
Mais au fil du temps
Toutes les utopies se sont déshabillées
Et j'ai vu les mots du silence qui marchaient
Quand je partirais
Je me souviendrai avoir servi brièvement
Ma vie de femme ,
D’innombrables regards ont traversé le corps
Je me souviendrai encore
Que j’étais sœur, fille et mère
Ici sur terre
Quand je partirais
Quand le temps sera venu de m’en aller
Je me souviendrai d’une profonde tristesse
Qui a empoisonnée ma vieillesse.
Que les mots que j’ai gravés
Dans le vide S’effaceront …
Je n’ai pas mendié …..
La Restitution au milieu immortalité
Me suffit que j’aie Inscrit
Mes pensée grimpé cette falaise
Qui se nomme vie
Et des chants de la substance
Communion des sages.
Ni une larme ne s'habillent a de la douleur!
La mort de mes années enterrée de ma vie les couleurs
Mais aussi aucune ne trace de ce que j'ai aimé
Ne resteras a jamais ….
Quand je partirais
Je me souviendrai……
Qui se souviendra que j'ai passé par ici ...
Ombre traces de mon passage du vent..
Toute façon d'obtenir une cicatrice noire
Et la mer qui ne bougeait
Dans le chaud et sombre soir …
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire