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jeudi 28 avril 2011

Quand je partirais

Quand je partirais
18/08/2010
Ecrit par evangelia fourlis
Photo d’eva

Quand je partirais
 Je veux des  harpes et des violons
Que leurs notes sèment
Une musique enfleurée
Que tous espoirs vogue très loin a travers les forets,
 Sur les libres eaux de la mer,
Et s’envolent autour de la terre
Que tout les poètes rhapsodies y posent
Aux pieds des montagnes qu’ils y apposent

Quand je partirais
ca sera une belle journée
du  soleil d’ Émeraude
Et le soir étoilé en perle de diamant
Une nuit chaude…..
Le sol  ne portera que leurs fruits
D’un coin secret du  paradis
Et le vent du sud viendra
Torride, plein de vie …

Quand je partirais
Au loin, Quelque part,
Mes souhaits feront un arc en ciel
Pour la randonnée  de notre  existence
Qui a étais  toujours amer et sans patience
Pour les vérités qui ne  sont  jamais restés
Pour toutes sincérités qui ne sont jamais aimés

Quand je partirais
Je me souviendrai du  silence insondable
Des  routes qui se croisaient
Avec les timides lumières qui se propageaient
Par la couronne de l'aube….
Les nuits avec des rêves cachés qui me poursuivaient …

Quand je partirais
Comme un ermite  qui traversé l’ombre
Dans un soir qui était vraiment
Je me souviendrai que
J’ai rencontré  pour un moment
Des parcours de l'homme  dans le temps ….
Mes rêves passagers
 De que tu  as vêtu  le cœur
Mais au fil du temps
Toutes les utopies se sont déshabillées 
Et j'ai vu les mots du silence qui marchaient

Quand je partirais
Je me souviendrai avoir servi brièvement
Ma vie de femme ,
D’innombrables regards ont traversé le corps
 Je me souviendrai encore
Que j’étais sœur, fille et mère
Ici sur terre

Quand je partirais
Quand le temps sera venu  de m’en aller
Je me souviendrai d’une profonde tristesse
Qui a empoisonnée ma vieillesse.


Que les mots que j’ai gravés
Dans le vide S’effaceront …
Je n’ai pas mendié …..
La Restitution au milieu immortalité
Me suffit que j’aie Inscrit
Mes pensée grimpé cette falaise
Qui se nomme vie

Et des chants de la substance
Communion des sages.
Ni une larme ne s'habillent a de la douleur!
La mort de mes années enterrée de ma  vie les couleurs
Mais aussi aucune ne trace de ce que j'ai aimé
Ne resteras a jamais ….

Quand je partirais
Je me souviendrai……




Qui se souviendra que j'ai passé  par ici ...
Ombre traces de mon passage du vent..
Toute façon d'obtenir une cicatrice noire
Et la mer qui ne bougeait
 Dans le chaud et sombre soir …

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