Écris par evangelia fourlis
24/06/2010
24/06/2010
comme un glacier d’un astre solaire,
yeux, noir foncé métissés a la couleur de la terre,
et dans un tendre susurrement,
d’un chant de la mer
yeux, noir foncé métissés a la couleur de la terre,
et dans un tendre susurrement,
d’un chant de la mer
Recouvre des rêves d’antan,
avec la tendresse d’un enfant
avec la tendresse d’un enfant
De l’adolescent l'espérance,
Et d’un adulte la tendance,
Se rappelle le haut de la colline
ou il cherchait voir sa copine
Sa copine, sa dame, son amie,
Sa compagne de toute sa vie …..
comme un glacier d’un astre solaire,
le front ridé sur la peau bronzé et amer
le front ridé sur la peau bronzé et amer
Sous le doux chuchotement du vent solitaire
il était la, avec son dur regard regardant les affreuses blanches lames
il était la, avec son dur regard regardant les affreuses blanches lames
Isolé, seul, avec ses mémoires, sanglotant les vagues
Appelait avec frayeur au cœur, sa dame, son âme……
Comme un glacier d’un astre solaire,
les cheveux blancs par le vent remué
les cheveux blancs par le vent remué
il étais la pendant toute ces années,
en se souvenant cet horrible soir,
le pied de la colline dans le noir,
son regard dur et tendu,
Était fixé sur les rochers rigides
Tandis les abominables blancs flous du flux
les tranchaient et secouaient l’ombre de son esprit,
qui s’était plongée du haut de ce sommet et a disparue ,
C’était ….Sa copine, sa dame, son amie,
Sa compagne de toute sa vie …..
comme un glacier d’un astre solaire,
yeux, noir foncé métissés a la couleur de la terre ,
le front ridé sur la peau bronzé et amer
yeux, noir foncé métissés a la couleur de la terre ,
le front ridé sur la peau bronzé et amer
les cheveux blancs par le vent remués
il étais la, avec son dur regard
Isolé, seul, avec ses mémoires, sanglotant les vagues
S’est laissé dans ses rêves d’antan
pour rejoindre sa vie …..
pour rejoindre sa vie …..
Sa copine, sa dame, son amie……
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