Écrit par evangelia fourlis
Sur les bien tracées ligne d'un vieux papier
je laisse ma plumes saignée,
elle glisse sous des mots de l'amour
des écrits de ces jours
des journées lointaines ensoleillées...
je laisse ma plumes saignée,
elle glisse sous des mots de l'amour
des écrits de ces jours
des journées lointaines ensoleillées...
Enlacé sur une plage au sable doré
Je me laisse par ma plume voyager
Parmi des souvenirs oublié du passée
Tandis que ma main tremble
Mon esprit voyage, me semble …
Et mon âme en arrière est repartie
Au fil du temps dans la vie
Moi plus jeune ….je souriais au soleil,
Toi sans soucis ….tu parlais pour la veille,
Pour la mer, qui allait au-delà de la terre,
Et sa couleur se mélangeait avec le ciel,
Pour ses vagues fades
Qui se jetais sur les rochers en cascades
Pour le coucher de l’astre solaire
qui couchait sur tout l’univers..
sur les bien tracées ligne d'un vieux papier
je laisse ma plumes saignée,
elle glisse sous des mots de l'amour
des écrits de ces jours
des journées lointaines ensoleillées...
je laisse ma plumes saignée,
elle glisse sous des mots de l'amour
des écrits de ces jours
des journées lointaines ensoleillées...
Nous étions enfants,
Sans soucis, sans tourments
Comme l’encre de mon plumier qui glisse
Ainsi les années se fuissent…..
Comme une larme qui s’est échappée
Toi aussi dans tes vagues tu t’es caché.
Sur les bien tracées ligne d'un vieux papier
je laisse ma plumes saignée,
elle glisse sous des mots d’espérance
des écrits de ces jours de nos enfances
des journées lointaines ensoleillées...
je laisse ma plumes saignée,
elle glisse sous des mots d’espérance
des écrits de ces jours de nos enfances
des journées lointaines ensoleillées...
Qui paraissent comme des songes imaginés………..
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