Ecrit d’evangelia fourlis
Blanc de l'innocence,
D’un enfant sans soucis,
Dans un monde de haine,
Chagrin et de peine,
Quand tous l’univers cris,
Sans aucune cadence,
Mouvement, mesure ou harmonie,
Blanc de neige
Variante d’une incolore bleuté
Ou d’ivoire aux tons rosés,
Tel qu’une fleur de satin bronzé,
Qui s’effleurie dans un rêve de parterre
Et te donne de millions de promesses,
D’utopie, De chimère,
Tu ne peux dire a ses caresses de s’arrêter.
D’une Robe de porcelaine
Tel d’une parure d’une reine,
Dans son château dormant.
Les fleurs se dressent tout en dansant,
Autour De ses murailles, ses tours et ses eaux stagnant.
Blanc lunaire, d’un éclat définissant,
D’un signal lumineux au milieu de l’océan
Donne à ma voix étouffée,
La voie libre d’un chemin dégagé,
D’un paradis perdu,
Entre fumé et nuage,
Ciel et rivage…
Très loin de toute vue.
Blanc d’une jeune mariée,
Comme ses joyaux et sa robe tachée,
D’une jaune pale, couleur miellée, d’un doux mariage,
Ou la nuit se marie avec les nuages.
Blanc d’une couleur interdite
Dans une loi expressément banni
Blanc pour un espace non rempli,
Mon âme se laisse aller sur des douces soieries,
Ou sont passaient tout mes rêves de ma vie?
Blanche aussi ta robe,
Fleur délicate, d’un autre monde venue,
Tu nous prends dans ton charme de Venus
Et tu nous voyage à l’Iliade d’Oddysee si bien comté,
Blanche petite fleur, délicate fleur de lotus….
Tu es si bien aimée…
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