Alors que les bras enlaçaient le corps
Et que la soirée éclatait en étoiles,
J’ai timidement touché ton cœur,
Avec mon doux voile..
Et découvert un mystérieux bonheur
"Je t’aime"
Et alors que tombaient les étoiles sur la terre
Et que tombaient les corps sur l’univers,
Je n’ai trouvé qu’un mot à te dire,
"Je t’aime"
Et alors que tombaient les étoiles sur la terre
Et que tombaient les corps sur l’univers,
Je n’ai trouvé qu’un mot à te dire,
Avec mon dernier soupir
"Je t’aime"
Mon ange, mon homme, ma mort,
C’est toi.
Toi qui retournais lentement le couteau,
Toi qui m’ôtais doucement de la vie mes maux,
Toi.
Et quand tu retournais lentement le couteau,
Et quand tu m’ôtais doucement la vie,
Je ne t’ai encore qu’un mot dit,
"Je t’aime.
"Je t’aime"
Mon ange, mon homme, ma mort,
C’est toi.
Toi qui retournais lentement le couteau,
Toi qui m’ôtais doucement de la vie mes maux,
Toi.
Et quand tu retournais lentement le couteau,
Et quand tu m’ôtais doucement la vie,
Je ne t’ai encore qu’un mot dit,
"Je t’aime.
Et alors que nous luttions ainsi corps à corps
Et n’avais plus le cœur de m’éloigner de ma mort,
J’ai encore trouvé le moyen de te dire
"Je t’aime".
Tout autour, les gens en couples marchaient
Et moi toute seule, dans une maison fermée,
N’ayant à la bouche qu’un chaud murmure
Et ton ombre dessiné sur le mur , Et n’avais plus le cœur de m’éloigner de ma mort,
J’ai encore trouvé le moyen de te dire
"Je t’aime".
Tout autour, les gens en couples marchaient
Et moi toute seule, dans une maison fermée,
N’ayant à la bouche qu’un chaud murmure
"Je t’aime".
Mon ange, mon homme, ma mort,
C’était toi..................................evangelia fourlis
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