Sa physionomie annonçait son âme
Un visage doux mais à la fois, sur ces trais
Se dessinait un regret, un chagrin, ou un mal déjà fait
Il avait parfois l’air rêvant avec son regard voyageant
Dans des nuages au visions de mille et une nuit ou
Dans des misères d’antan de la vie,
Il distinguait le mal et le bien
Le bon et le mauvais de tous les chemins
Parfois il se perdait la nuit,
Dans les sombres souvenirs
Dont il avait écrit
Et laisser échapper une larme de ses yeux
Sans frisson sans passion le malheureux,
Il exploitait les mots
de ses mauts..
Et cherchait encore de faire mieux
Pour oublier ses épreuves
qu’il lui étais soumis..
tel étais son caractère
Sa physionomie était en première,
Et disais toujours <<il faut cultiver notre jardin de la vie >>
Evangelia fourlis …tout droit réservé a l’auteur ….
des mots de chaque jour... des paroles qui marque vos jours ,des paroles du vent ou des paroles d'un monde existant.... font une poésies un je t' aime de la vie.. des sanglots tout discrètement tombé sur une page de papier se gravent en encre de sang... sur une page bleu, ciel d'azur , blanc ... vierge fleur du temps... noir .. Sombre de mon âme soir... se forme en manuscrit ... et reste a toujours en vie...
QUAND L'OMBRE ATTEINT LA LUMIERE
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