A bas l'orgueil
Place au deuil....
Comme paralysée
Comme paralysée
D’un manque désespéré
Je vis maintenant dans la douleur
Je vis maintenant dans la douleur
Et dans une vie plein de pleurs
Prise de cela …conscience
Prise de cela …conscience
ce n'était pourtant pas dû à un manque de chance !
C'est clair tout comme un éclair tu es venu
Comme un éclair je t'ai perdu
tout est mort... que de remords
Douleurs, torpeurs
C'est clair tout comme un éclair tu es venu
Comme un éclair je t'ai perdu
tout est mort... que de remords
Douleurs, torpeurs
Une partie mes erreurs
Destruction de soi,
Destruction de soi,
Une perte d'ambition,
un blocage d'émotion....
Je souhaite vivement et vraiment sortir de ce désert
Je n'ai su au fond que te déplaire
De là à ne plus rien pouvoir faire...
Je veux quitter cette situation qui me morfond
Tout cela dû à mon imagination,
Je souhaite vivement et vraiment sortir de ce désert
Je n'ai su au fond que te déplaire
De là à ne plus rien pouvoir faire...
Je veux quitter cette situation qui me morfond
Tout cela dû à mon imagination,
Une grande nécessité de mes fabulations
Pleine de sentiment noyé dans mon âme
Pleine de sentiment noyé dans mon âme
De mes fantasmes les émois,
J’aimerai sortir de moi.
Et pourtant au premier abord
Et pourtant au premier abord
avec tout mon corps
Sage avec du courage
J'enfoui mes peurs
Sage avec du courage
J'enfoui mes peurs
Pour vivre avec une ardeur
Et surtout pleine de profondeur,
Et surtout pleine de profondeur,
seulement que du bonheur...
un retour sans détour,
Coûte que coûte, encore et toujours
Ces doutes, ces peurs, ces pleurs
Je ne sais si mon cœur à nouveau vivra un jour l'apesanteur,
d’un parcours de jeunesse qui m'inonde encore de tristesse,
Et qui me révèle encore une telle faiblesse,
qui démesurément je vis dans l'ivresse,
Et reste une vrai tigresse
Quelle bassesse !
Le pire, et loin de rire, je n'envisageais que l'avenir !
Je savais que détruire .......................................................evangelia fourlis
un retour sans détour,
Coûte que coûte, encore et toujours
Ces doutes, ces peurs, ces pleurs
Je ne sais si mon cœur à nouveau vivra un jour l'apesanteur,
d’un parcours de jeunesse qui m'inonde encore de tristesse,
Et qui me révèle encore une telle faiblesse,
qui démesurément je vis dans l'ivresse,
Et reste une vrai tigresse
Quelle bassesse !
Le pire, et loin de rire, je n'envisageais que l'avenir !
Je savais que détruire .......................................................evangelia fourlis
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire