On m’avait dis que le monde change
Une fois grandie tous ce ressemblent
Tous ont la même pensée
De se satisfaire la volonté
Petit garçon encore, je ne voulais pas les croire
je croyais qu’ils voulais me faire du mal…
Je me suis dis, alors un jour
Devenir comme eux comparables
Mais comme cette foule de fou
je me suis rendu semblable…..
J'avais dit qu’avec ces gens-là
Je ne ressemblerais pas
Et si tu aurais besoin de moi,
Je serai toujours la..
Mais ensuite, j'ai entendu dire aussi
Les mêmes mots, eux avais déjà dit….
et maintenant ne savent comment se donner les mains
Et leur vie est plongée dans un misérable lendemain
Trop petit, et mon esprit rempli de rêve.
De trouver une solution,
Je cherche pour mettre le monde à l'envers…
Je voulais un monde différent
Sans patron, sans président..
Et vivre avec toute joie et bonheur
aux yeux de la magie du cœur …
mais les années ont passées
Et moi j’essaie encore,
vivant avec la peur de mon corps…
evangelia fourlis
des mots de chaque jour... des paroles qui marque vos jours ,des paroles du vent ou des paroles d'un monde existant.... font une poésies un je t' aime de la vie.. des sanglots tout discrètement tombé sur une page de papier se gravent en encre de sang... sur une page bleu, ciel d'azur , blanc ... vierge fleur du temps... noir .. Sombre de mon âme soir... se forme en manuscrit ... et reste a toujours en vie...
QUAND L'OMBRE ATTEINT LA LUMIERE
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