( 24/ 12 / 2009)
Aucun personnages ne se souci de mon sort
Passe tout a cote de moi
Et se ne contrarie pas
Qui me voyant trainer
Par le temps blaisée.
C’est pour cela que je quitte la scène
Et se maudit décor et je sors,
j’enlève le maquillage
Et je prends le large
j’écris j’efface et je tourne la page
marcher moi dessus tant que vous y entent
puis écraser moi que je devienne, miette,
Un débris caché pour les autres colombes.
Peut-être suis-je trop exigeante?
Non, on m’a dis méchante.
Peut-être suis-je comme mon père il est trop hardi?
Mon dieu, comme je ris.
Aucun personnages ne se souci de mon sort
Mais je suis trop fatigue
Fatigue de me justifier
J’ai juste envie de me laisser mourir
peut ΰ peut
Je n’aime plus sortir pour ce n’est
qu’un jeu
Je suis malade
malade de toute vos
ballade
La vie a un gout de somnifère
et comme d' habitude tu trouve
que j’exagère
Et personne ne pleurera pour ma mort
evangelia fourlis
des mots de chaque jour... des paroles qui marque vos jours ,des paroles du vent ou des paroles d'un monde existant.... font une poésies un je t' aime de la vie.. des sanglots tout discrètement tombé sur une page de papier se gravent en encre de sang... sur une page bleu, ciel d'azur , blanc ... vierge fleur du temps... noir .. Sombre de mon âme soir... se forme en manuscrit ... et reste a toujours en vie...
QUAND L'OMBRE ATTEINT LA LUMIERE
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