je n'oublie pas les années
qui sont passées,
les époques que nous étions étrangers,
Comment peuvent partir
ses souvenirs infantiles,
qui ont laissé leur sceau encré
dans ces cerveaux immaculés,
loin de malice et de méchancetés…
tu me les rappelles, ma destinée ……
je n'oublie pas cette latence, que tu m’as offert….
et les yeux qui pleurent, de ma mère.
ils ont laissé leur sceau encré
Aux yeux innocents
de ses souvenirs infantiles,
tu me les rappelles, ma destinée
comment pouvoir oublié,
Malgré les années passées
tous ce malheur apparenté.
Comme pirouette,
tourne et tourne, encore une fois
et tourmente mon âme,
et laisse leur souvenirs lourd
sur ma vie mauvaise, et sans amour
ma vie, tu me les rappelles
nuits et jours.
evangelia fourlis
des mots de chaque jour... des paroles qui marque vos jours ,des paroles du vent ou des paroles d'un monde existant.... font une poésies un je t' aime de la vie.. des sanglots tout discrètement tombé sur une page de papier se gravent en encre de sang... sur une page bleu, ciel d'azur , blanc ... vierge fleur du temps... noir .. Sombre de mon âme soir... se forme en manuscrit ... et reste a toujours en vie...
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