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lundi 16 mai 2011


Cette petite parole…



Immerger dans l'inspiration de ma feuille blanche...
Comme désormais est mon âme
Je cherche le pardon qui ronge mon doute et mes mots
J’examine les lettres et les expressions de cette petite parole…
qu'une trainer de silence étaient toute mon existence,
Mais que peux avoir ce mot, quel est son rôle?
J'efface tout et je recommence,
De nouveaux...Et de nouveaux
et ne peux trouver ces mots...
Ces mots qui peuvent soulager mon esprit
Mais peux a peux ce suicide, après moi
Ce détruit dans ces ruines
Entre ligne et rimes
Mon inoccupé esprit se vide…..

Je voudrais tout déchirer mais il est trop tôt...
Trop tôt, pour laisser cette pessimiste tristesse
Me prendre dans ses bras avec un sourire nocturne de gentillesse.
Je n'ai trouver aucun jolis mot dans ma liste,
De leurs coter les mots veulent partir
De mon coter moi je veux quitter ce navire ,
Ce radeau entre le passe et le présent,
Qui soulage que ma mélancolie
J'écris pour cette nostalgie
Je vis avec ce chagrin
Je meurs a causse de ce que j'écris
Comme le temps est accablant,
Je respire, soupire tout doucement
Comme le temps est pesant,
Ma vie ressemble à un conte pour enfant
Comme le temps est fatigant,
Je chante sous le mauvais temps
Comme le temps est lourd épuisant
Mes mots commence à devenir insolent
Mais ce temps est toujours lourd car il est fatiguée
Comment je le sais ?
Il me parle et je l'écoute du haut de mon rocher….
texte : EVANGELIA FOURLIS

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