Un train chargé de souvenirs, de chagrins et de peine
Poursuivi par toutes les stations sans fin plein de haine
Lorsqu’il se tenait dans la neige et son corps noyé par la Pluit
Je te cherchais entre les gouttes pourtant je ne voyais pas de vie
Mais le passé s’envole dans le temps
Comme le soupir meurt dans le vent
Les souvenirs savent pleurer
Tandis que moi et mon âme, dans mes ténèbres je mourrais
Soudain le navire du monde brisé dans son dernier voyage
soulevées, chaviré dans les mers sauvages,
sans matelots …. le volant…le capitaine et les voiles
et moi dans le coin j’était seule comme un oiseau dans le désert.
Seule avec mon sombre voile ….
Et tout autour la mer..
Mais le passé s’envole dans le temps
Comme le soupir meurt dans le vent
Les souvenirs savent pleurer
Tandis que moi et mon âme, dans mes ténèbres je mourrais
evangelia fourlis
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