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mardi 3 mai 2011

Un passage docile

Ecrit d’evangelia fourlis

Mes larmes pensives 
Dans un passage docile 
Je marchais silencieux, chagriné et craintif
Je comptais le bruit de mes pas, 
Le battement de mon cœur 
Et ça ne me représentais pas
Mais les larmes continuaient me brûler le visage
Et je suivais ce couloir sage
Me demandant pourquoi étais-je-la
Je ne voyais personne passait par la 
Ce bruit qu’ on entendait au fond
Me faisait mal mais je continuer avec bas le front 
Le silence aussi me tuait,
J’escortais un voyage irréel 
J’étais sur une frontière dans le ciel
Sur une façade légendaire, ancestral…
La vie absente dans mon cœur 
M’avais pris tout bonheur,
Le silence de ma fatigue montait a mes oreilles
Me suivait dans cette nuit d’aventure
En ce chenal de peur et de rêve.
Mais aussi on dirait que c’étais la vie et la mort ensemble..
Une utopie, un monde d’ailleurs, un tableau merveilleux de peinture…
La lune reflétait et réduisait mon sentier 
Cette minceur m’a fais sentir les cicatrices de ma douleur perdu 
Une complice d’un soir délirant que j’avais déjà vécu.
Un coucher de soleil orange jaune et rouge,
Un dernier sourire du soir avant ce coucher 
Un souffle d'air frais, vint me surprendre
Avec une douce touche de poussière colorée
Qui se dressait sous ma marche comme pour me montrer
Des pas jaunâtres devant moi, une foule d’ombres 
Qui marchaient devant moi …..
Un sourire d'ivoire décrit la dernière étape
L’esprit s’envole a la recherche d’une goutte de vie
Mais l’âme reste quand elle voit ton tissage qu ’il lui sourit,
Ainsi finit cette histoire de ce tableau que j’ai mis 
Ce n’est pas des souvenirs ce n’est pas des mémoires
C’est pour une âme qui est partit…
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Si l’âme pouvait parler…

Ecrit par evangelia fourlis

Dans un autre pays de ton esprit,
Tu m’as mené un jour, tu m’as conduit,
C’était une foret de tes songes, une étendue,
Étalée plein de rêves perdus,
De tes rêves sincères, que tu n’avais jamais parlés.
J’ai cru que c’étais un mensonge,
J’avais peur, mais je n’ais pas pleuré,
Des arbres hauts et maigres étaient nombreux,
Et semblais tous heureux,
On dirait que c’étais des familles,
Certains vieux, certains nouveaux nées..
On parcourait cette galerie forestière,
Qui dansait au bord d’un ruisseau,
L’eau était claire
 Et remplissait de joie mon âme entière,
En voyant ce parcourt merveilleux,
Mon cœur étais passionné par cette vue artificiel,
On ne pouvait même pas voir le ciel,
Et  tu  semblais heureux ,
En voyant un champ de fleur qui se dressait devant moi,
Des petits villages étaient semer de ci de la,
Tout ressemblait comme un conte de fée,
si bien construit et racontait,
et des âmes qui se trouvaient dans ton cœur et ton esprit,
Des gens biens aimé, que l’amour de ce voyage te les avait pris.
Sur un autre plan….
Le parc des géants …
C’était un terrain immense avec une verte parure,
Des fleurs magnifique que personne n’avais déjà vu
Et des fontaines qui jaillissaient de partout sur la verdure,
Ma fois que c’étais beau!!!!Un paradis perdu !!
La je t’ai vu que tu t’éloignais  de peu a peu,
Tout en me disant ferme tes yeux !
Mais moi je ne voulais pas les fermer,
Et en te voyant prés d’eux,
J’ai compris que tu voulais voyager dans les cieux……
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Aux jours de tes souffrances

Ecrit par evangelia fourlis 


Aux jours de tes souffrances,
Tu m’avais mis dans ton bateau de délire
Sans tarder, je t’examinais pour te lire
Je regarder tes yeux qui me fixer et me demandait patience
Tout semblaient désespérés …ton mal dans une chambre noir, 
Tu nous menais dans des chemins de tempête sans espoirs
La ou erraient des ombres ensorceleuse,
Dans leurs peines malheureuses,
Mon guide étais toi et ne les laisser pas me toucher,
Toujours en me répétant n’est pas peur,
Mais j’avais une frayeur...
Mes pieds tremblaient,
Ma tête tournait,
J’étais trempée par une froide sueur…
Soudain on s’est trouvé dans un endroit déjà vu,
Dans une plaine tout prés d’une foret.
Aucune apparence comme elle n’était,
De cette parure que j’avais déjà connue 
Elle n’était pas pareille,
Ce terrain de merveille!!!
Ces chaussées étaient en feu,
Tantôt rouge, tantôt orange et même bleu…
Je trouvais tous ca étrange,
Je croyais que c’étais mon cerveau qui se dérange, 
Mais tu me disais parle peu, 
Tandis que moi, je me taisais avec les larmes aux yeux,
Tout en me serrant prés de toi pour me donner le courage...
La force de continuer ton voyage.
Les champs de fleurs avaient donne leur place 
A des volcans terribles, qui lançaient des flammes dangereuses,
Et nous, nous étions au tout au milieu de cette scène malheureuse, 
Le parc des géants a était supprimé,
au même lieu était un lac de lave, jetant des étincelles,
Des flammes qui s’étendaient jusqu’au ciel,
Un claveau sombre, noirci par cette fumée,
Tandis des gémissements déchiraient mon cœur,
Des lamentations sans voix, supprimant de la vie le bonheur,
Tu t’es disparu de mes cotés,
En me laissant la, plus seule que j’y étais,
Mais je savais que ton voyage, ton voyage n’étais pas encore fini 
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Vécu dans le passe…..


Ecrit par evangelia fourlis 




Étant épuisé par ton procès...
T’es revenu pour nous rencontrer
Pour un tour encore de ta vie 
Vécu dans ton esprit
Né le mille neuf cent vingt sept
tu nous raconter 
Pour le mille huit cent sept,
Voyageant dans le passe,
tu nous a fait guerriers,
D’un roi et d’une reine,
D’une princesse sereine.
Amant serais tu d’elle ?
Amoureux d’une hirondelle,
De l’époque Don juan,
Tu courais contre le vent,
Pour monter dans le ciel,
lui faire des joyaux avec les étoiles 
et la lune pour un voile…
de visage.
cent ans après..Sans bagages
Toujours aussi passionnés,
Pour les jupons des femmes 
Très bien inspirer, 
Inlassablement avec des tendres âmes,
Né en Italie ……
Tu étais probablement dans leurs lits, 
Combien de guerre, de révolutions,
Sont-ils passés avec ta passion?
Et ainsi toutes les années, sont elles passées?
Allemagne, France, Grèce, et l’étranger,
Mais oui ma fois, tu n’avais pas changé, 
Tu nous disais pour tes amours d’autre fois,
Celles qui t’avais marqué et pris ta voix,,
Temps en temps tu nous confondais,
Mais très vite, tu revenais au temps présents,
Pour te plonger dans un fond sommeil tout en souriant….
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Entre le vent, le chaos et la terre

Ecrit par evangelia fourlis


Entre le vent, le chaos et la terre,
Ton voyage tous dans un univers
Un monde de folie et de logique
Une foule effrayante et magique
Tous ce passaient dans un calme détestable
Que d’émotions terribles méprisables…
Pour toi, qu’on avais pas connu,
Le temps qu’il le fallait, on ne l’a jamais vu
Peut être que ce n’étais pas ta faute,
La cause était les autres,
Les voyages, les femmes le travail et ta passion,
Ne te laissais pas de faire attention,
A tes enfants, ta famille et ta femme …..
Que dieu me damne,
J’avais si besoin de toi,
Que je ne t’aie pas laissé partir plut tôt mon roi,
Oui….mon roi, ma majesté, mon père,
Tu ne savais pas comment faire ….
Et moi stupide comme je suis,
Ca je te l’ai dit…
Je t’en ai parlé lors de ta maladie,
Te connaitre, je voulais..
Rien de plus et rien de moins,
Tu étais dur …
Aux yeux d’un enfant sévère
J’avais peur de toi mais je t’aimais, sincère...
Combien de mots j’ai du faire,
Aux yeux d’un mourant,
Et son esprit pleurant,
Tu me fixais sans pouvoir parler,
En me disant laisse moi partir, il faut aller..

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découvrir mon parent

Ecrit par evangelia fourlis


Dans mon monde d’enfant
Je voulais découvrir mon parent
Mais, toi tu étais toujours absent...
Devenu adulte maintenant,
Et a mon tour parent,
Je voulais seulement te connaitre,
Tout juste pour accomplir mon être.
Je t’ai demandé seulement cette faveur,
Et exiger un peu de bonheur ……..
Pour ca mon père ,
Un grand merci, pour ces six années de satisfaction,
Toujours a ta façon…….
Je te laisse partir,
Ton voyage a finir,
Tes rêves de guerrier …
Tes femmes a aimé…..
Car le jour est venu,
Ce contrat de haut de la de ta vie,
Je savais que c’était la fin,
Pour un autre demain.
Prenant du courage,
Mes larmes, soudain, se sont enfuies.
Un sourire c’est dessiné sur ton visage,
Pour ton adieu, et ton voyage….

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le jour de cet evenement
12 /03/2005
La nuit, dans mon rêve dormant,
Des marches suspendu ,
Ce présentais devant moi
Personne n’étais a mes côté,
je suppose que j'étais seul dans l'obscurité
Mais j’avais fait une erreur
ils étaient tous la a la même heure..
des murmures profond étaient donnés ici et la,
et me semblais voir faiblement,
Des formes blanches et des ombres
Une froide sueur m’a glacée le sang,
J’ai descendu au bas des escaliers
la ou personne je crois qui n’est sut aller,
je me suis rendu dans l’air, dans le vent,
Dans des nuages et des étoiles sombres,
en regardant vers le haut, la je me suis perdu
et soudain une main s’est tendu
C’étais toi mon enfant, je présume
Mais je veux que tu résume
Toutes ces années malades,
je commence et je ma fade,
Laisse-moi partir
Et donne-moi ton sourire

Le dernier adieu
Ce texte a étais écrit la nuit que j’ai perdu mon père (19/03/2005)

Comme un film de cinéma,
Que je vois pour Première fois,
Ta vie se déroule devant moi.
Une vie émouvante, bouleversante
Curieuse, J’observe tes yeux,
Qui me fixent, ils me disent pour d’autres lieux,
En Essayant de comprendre,
J’essai de sentir,
Quelque chose de saisir,
de Ta vie de délire.

Dans ton esprit,
Je cherche a trouver
Une porte à parcourir,
Une fenêtre aérée…
Une fenêtre pour Tes pensées
laisse les moi les obtenir,
Dans ma main, les tenir
Mais Cette clef est a ta protection,
Donne-moi une chance,
La dernière occasion,
Pour un salut te donner,
Et Pour prendre ton mal,
Ta douleur abaisser.
Et te donner la félicité.

Comme une bobine de cinéma
Qui se défile devant moi,
Tous visages, les bien aimes
Ceux que tu as adorés
Ils sont tous prés de toi.
Tu Revis tout les moments,
Que tu as vécu avec maman.
Tu Survis dans ton esprit,
Les erreurs de tes peurs,

Tes offres ….mon père, nous suffit
Et pour ces erreurs, ils n’on plus de vie
Je ne te demande rien
Qu’un seul baiser,
Seulement pour le garder
Souvenir, dans mon cœur le cacher…
Vas y …..vas à ma mère,
Toi qui a étais mon père

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