16/11/2010
Ecrit par evangelia fourlis
Soudain mes mots…
mes mots s'éparpillent dans le vent, dispersent les nuages, les montagnes et les volcans inutile de parler, inutile de discuter, inutile de dire.. quand le soleil ne peut éclairer le jour a venir.. Que de sombreté sur cet espace de mort vivant !
Soudain mes larmes se couchent sur mes écrits…
Coulent si tendrement…
Sur le noir de ma vie et glace mon cœur,
Gèle mon âme…
Tout devient banal …
Et se transforme comme une rivière,
de mon esprit, une inconnu terre..
Qui ne peut comprendre ces chimères ...
Soudain que mon sang chaud encore de mes veines jailli,
Le navire de mon existence sur cette mer vieilli,
Le battement de mon cœur d'un coup sont arrêtés
De mon esprit la peur, et ma plume ne peut plus bougée
Soudain que mon hurlement dans le vide échoué
Les couleurs de mon arc en ciel se sont délavés
Sur le jaune d’or,
De la lune qui dort…
Et moi enfin qui me sent si faible, sans mon dieu a coté
Je contemple de loin, la fin qui Vient…
Se reposer!!!!
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire