Quand le soleil meure
Et que l'Angélus sonne sa peur
peu à peu, le noir du soir me dévore
Et je pense sans cesse la haine de ma mort,
Qui me donne l’envie de partir
Partir loin sans souffrir
Crépuscules coupant
Comme des couteaux saignant
Des soirs qui te tuent
Comme des ombres dans un chaos perdu
et deux mains,
seules, dans une réalité non voulu
me ressuscitent encore une fois dans un stress sans fin ..
Quand le soleil descend
et que mon ombre s'allonge dans ma peur la crainte
peu à peu mon âme résonne
Et la frayeur m'éteint
Et je pense sans cesse la peine de ma mort,
et moi qui veux seulement partir..
Partir comme un lâche qui ne sait se combattre
et laisser mes larmes souffrir…
evangelia fourlis

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