on dois toujours tendre une oreille dans le silence d'une âme
on dois toujours savoir lire le parfum de sa music sur le couteau la lame
pour savoir partager le bien et le mal et de ne pas se blesser avant de juger
dans le calme concis de la nuit
écoute des ombres le silence
l'enchantement de ce air adoucie ma patience
et enfleure la sérénité de ma litanie
qui se laisse reposer sur l'aile doux d'un nuage
tant que mon esprit respire de vos parole l'ouvrage
qui se laisse reposer sur l'aile doux d'un nuage
tant que ma pensé absorbe de vos paroles la labeur
d'une inspiration du soleil ,en mon coeur...
de la lune ou terre ou même de la mer ..
mais surtout d'une réalité
qui ,peut être si on me demander de le dire haute voix
de tout cela ,
décrire une petite dose
je ne saurai si j'ose ..
que le silence de mes écrits,
prononce très bien la facilité et la dureté de la vie
et que mes lignes articule
sur l'encre du sang qui hurle
de ces voix qui hante l'humanité
entre siècle futur ou passé.
voyage entre le siècle et le temps
disperse le brouillard qui cache l'introuvable
derrière ce cache la réalité tu en est capable
et quand tes yeux par les larmes se sécherons
et ces sanglots, dans tes mains deviendrons
alors ce brouillard deviendra arc en ciel et toi ,
sur le sommet du soleil ...
evangelia fourlis

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