Dans mes rêves,
Les tout brèves,
Toi tu es la...
La, tout prés de moi,
Tu me prends dans tes bras,
Et me dis tous bas,
«Prend moi la main,
Et ne regarde pas le lendemain,
Le passe, Ne cherche pas,
Regarde devant.. Devant toi,
Le passe était hier,
Et moi, hier,
Je n’y étais pas,
Le lendemain, sera demain
Et moi demain, je ne sais pas. »
Dans mes rêves
Les plus longs.
Les jours n’ont pas de fin,
Sans arome, sans parfum,
Et sans arrêt, moi, je regardais devant,
Je prenais garde au plus petit danger,
Pour ne pas m’accidentée.
Avec toi, prés de moi,
J’étais sure, avec toi.
Mais la, un jour,
Toi tu n’es pas venu,
Dans mes rêves
Tu t’es perdu,
Et que ferais-je maintenant,
Que je ne puisse regarder le passé.
La main n’est plus tendue,
mais ,ou es tu ?
Et j’ai peur de me blessée.
Je n’ai plus envie de marcher.
Pourquoi tu ma laissee.
Et que ferais-je maintenant,
Comment me lancer au lendemain ?
Le lendemain n’existe plus,
le lendemain est partit ...
texte d'evangelia fourlis
des mots de chaque jour... des paroles qui marque vos jours ,des paroles du vent ou des paroles d'un monde existant.... font une poésies un je t' aime de la vie.. des sanglots tout discrètement tombé sur une page de papier se gravent en encre de sang... sur une page bleu, ciel d'azur , blanc ... vierge fleur du temps... noir .. Sombre de mon âme soir... se forme en manuscrit ... et reste a toujours en vie...
QUAND L'OMBRE ATTEINT LA LUMIERE
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