Dans le chemin des douleurs
25/07/2010
Texte d’evangelia fourlis
Dans le chemin des douleurs,
Sous le pont des soupirs,
Sans rires,
Sans bonheur
Ma mère, m’a donné le jour
C’était à vivre mon tour ….
C’était Une nuit d'automne
Une soirée monotone,
Mes yeux ont vu
Un monde inconnu,
De ma destinée, le froid cœur.
Hochets coloré et en plastique
Avec des berceuses belle et magique
Moi, je dormais,
Et les petits yeux ont vu le monde
Le bien, le mal et le parfait
Et j’ai accepté cette ronde…
Amère était Mon lait
Saumâtre, l'eau qui me rafraichissait
Mais moi, je grandissais,
Et de mon berceau tout prés
Assis, étais mon destin,
Sur moi, mon futur comptait,
Pour un nouveau demain ….
Mes pleurs muets,
Mes sanglots discrets,
Comme si j’avais a dire….
Mais personne n’a vu mon triste soupir
Pour cette «putain» de vie qu’ils nous ont chargée …..
Refrain……………….
Ainsi, ma vie, J’ai donc commencé l
Personne ne m’a demandé,
Mais je me suis habitué,
Comme un aiglon blessé sur le sol,
Je cherche la force de me tenir encore,
Ainsi, ma vie, J’ai donc commencé l
Avec un conte d’une vie imaginaire,
Mais tout étais des histoires éphémères …..
Mon Dieu, et je savais jour où je mourrai…..
L’anniversaire de ma mort, je ferais…..
Mon Dieu, et si je savais le jour où je mourrai…..
L’anniversaire de ma mort, je ferais…..
Sur la boue et des cloues en feu
Dans ce monde pauvre et affreux
Que je ne connaissais pas,
Mais j’ai fait mon premier pas
J’ai essayé de m’équilibrer
Cette vie à rattraper,
Mais elle s’est échappée,
Seul l’ABC
À l'école ma première fois j’ai prononcé
Le pourquoi et le comment
Me suit partout, et pourtant
Je suis dans la cinquantaine tous prés….
Ainsi le temps passait,
Et moi sur la route de ma vie
Je prenais le chemin des soucis
En faisant des rêves
Sans penser au réveille …
Je devais être par ceux
Qui nagent dans la mousse
Des malheureux
Et patauge dans une boue de source
Comme un jeu
Ruisselant du sang de l'âme comme des gouttes de pluie
Qui me sourit …
Refrain……………….
Ainsi, ma vie, J’ai donc commencé l
Personne ne m’a demandé,
Mais je me suis habitué,
Comme un aiglon blessé sur le sol,
Je cherche la force de me tenir encore,
Ainsi, ma vie, J’ai donc commencé l
Avec un conte d’une vie imaginaire,
Mais tout étais des histoires éphémères …..
Mon Dieu, et je savais jour où je mourrai…..
L’anniversaire de ma mort, je ferais…..
Mon Dieu, et si je savais le jour où je mourrai…..
L’anniversaire de ma mort, je ferais…..
des mots de chaque jour... des paroles qui marque vos jours ,des paroles du vent ou des paroles d'un monde existant.... font une poésies un je t' aime de la vie.. des sanglots tout discrètement tombé sur une page de papier se gravent en encre de sang... sur une page bleu, ciel d'azur , blanc ... vierge fleur du temps... noir .. Sombre de mon âme soir... se forme en manuscrit ... et reste a toujours en vie...
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