Que mes larmes

(14/07/2010)
texte : evangelia fourlis
Photo realise par evan
Que mes larmes deviennent sanglots
Et ces sanglots, de la Pluie des gouttes d’eau
Et puis ces gouttes de liquide
Qui sont soutient de mes yeux humides
Qu’ ‘elles se rejettent dans la mer
Et qu’elles se transforment en océan
Pour que mon chagrin devienne plus néant..
Qu ‘elles fassent le tour de la terre,
Et qu’elles deviennent graines.
Graines de l’amour eternel
Passion de couleur miel
Pour que mon âme s’élève jusqu’au ciel…

Que mes larmes deviennent sanglots
Et ces sanglots, de la Pluie des gouttes d’eau
Que ces gouttes amères
Se disperse dans l’univers
Comme gouttes d’amour
Et qu’elle reste dans le vent pour toujours,
Qu’elle arrose la lumière de la nuit sombre
Et qu’elle colore toutes perdu ombre …

Que mes larmes deviennent sanglots
Et ces sanglots, de la Pluie des gouttes d’eau
Qu’elle prenne ma peine qui perce le cœur
Et peu a peu perd son bonheur..
Qu’elle puisse adoucir ma douleur,
De ce jour qui me mène la peur,

Laissez-moi rêver

Laissez-moi rêver

26 /06/2010 un écrit d’evangelia fourlis

Laissez-moi rêver

Laissez-moi songer

D’une vie pleine de merveilles

Laissez-moi m’aspirer

Laissez-moi désirer

Laissez-moi dans mon sommeil.

Un je t’ aime sans pleuré

Refrain :

Rêver, songer, désirer

N’avoir pas peur de sourire

N’avoir pas peur de mourir

Refrain :

Laissez-moi rêver

D’un amour peut être non mérité

Laissez-moi songer

Que le passé n’a pas existé,

Laissez-moi ce désir

Découvrir un simple sourire

Un je t’aime pour la vie

Rêver, songé, désirer

N’avoir pas peur de mourir

Laissez-moi rêver

D’une vie que j’ai inventée,

Laissez-moi songer

Que la tendresse existe encore

Laisser moi désirer

Jusqu’a ma mort …

Laissez-moi ce désir

Rêver, songé, désirer

Sous un je t’aime de soupir

Refrain :

je voudrais être

je voudrais être
je voudrais être une lumière du temps
du temps d'antan et du présent
du présent et du futur
pour dicter mes aventures
méditer le passée
les amours et les amitiés
je voudrais être lueur
une lueur dans mon coeur
qui pourrais être peut être ma peur
peur du demain
un demain qui arrive pour nous donner une fin
faim dans ce monde
fin de ce monde
jje voudrais être orage
orage gris , de mon âme la rage
qui me tourmente jour et nuit
et mes mes yeux en larmes par les misères de la vie .....
je voudrais être prophète
pour annoncer l'avenir
que je ne sais pas pourquoi
mais je le vois venir
avec sa sombre destinée
et son ombre comme amitié.....
mais je sais , je ne serais rien de tout ça
je ne suis qu'une miséreuse âme
déguisée en corps de femme..
je suivrais tout simplement mon trame d'existence
et attendre mon coucher avec patience ............ evangelia fourlis 

Qui se souviendra

Qui se souviendra que j'ai passé par ici ...
Ombre traces de mon passage du vent..
Toute façon d'obtenir une cicatrice noire
Et la mer qui ne bougeait
Dans le chaud et sombre soir …
qui se rappellera de tout mes pas
que j'ai fais sur le sable mouvant
poussières dans les nuages
lettres de mes voyages
de ma vie d'antan!!!
qui soutiendras mes derniers mots
liés de la vie les maux
brin de grain dans les debris de la terre
orage brumeux de mes yeux sur tout univers
et les sanglots , les pleurs
des sons qui se meurts......
Qui se souviendra que j'ai passé par ici ..
ramasser les morceaux de ma vie
qui me brule la peau
que je porte sur mon dos..........
personne ne sera avec moi
quand l'heure viendras pour moi
pour me donner la main
pour la fin
de ce voyage de peine
qui jour en jour m' enchaîne
dans un monde plein de frênes.........
mais ma peur vient de disparaître
jour en jour j'en meurt
moi qui suis qu'un être
ange humain sur cette terre
ange d' âme sur un autre univers !!!!!!!!!!!!!!.....................eva....

la fin du monde

On dirait qu’il est arrive la fin du monde
Avec des tempêtes et des séismes
Des secousses et des bourrasques ….
Des victimes et des morts,
À partir du sud, est, West et nord
tous sont dans la ronde..
Blanc, rouge, jaune ou noir,
il n’y aura plus de racisme,
Une grande lumière noire
Tombera sur terre
Comme si il n’y avait jamais rien …
Dieu est en colère ….
Dieu fait son ménage,
Il est en rage,
Il nettoie sa poussière,
Ne laisse rien s’échapper derrière
Ni oiseau, ni chat, ni chien,
Ni être humain …
Il secoue son tapis de terre
Qui tien tout l’univers,
Et met son aspirateur,
Avec un fou vent,
Toutes les heures,
tout le temps..
Et fait sa vaisselle
Avec ses tempêtes, ses bourrasques, et ses pluies
Nous donne des ailes
Jusqu’ a qu’elle tombe la nuit ……….
On dirait qu’il est arrive la fin du monde
Et nous somme dans la ronde...
texte evangelia fourlis

Ma vie , ma vérité…..

Ma vie , ma vérité…..
mes couleurs ,
les mots de mon cœur ,
au fil du temps perdus
dans le chaos de l’inconnu
s’étouffent dans mon esprit
avec des pleurs qui n’ont pas de prix
mes écrits , le miroir de mon âme
ses habitants que des fantasmes,
des chimères mortes- vivantes ,
ou tout mes rêves d’enfances ,
viennent se rejoindre dans cette plante
qui s’appelle esprit …….
étant petite , sans me demander
m’ont rédigé une note très bien écrit
un mot , sur le cœur et l’âme étais mit ……
«Délicat, attention pas casser»
Alors la tous a commencé ……
A peine trois ans , Encore un enfant
Mélangé dans les gens
Aux docteurs et Aux hôpitaux
Pour des soucis ,pour moi encore trop tôt ,
tous se mêlaient pour découvrir ce mal secret..
Mystérieux en ces années pour un petit gosse...
La mélancolie étais démodée…
mais celle la étais clouée sur ma bosse
excuser moi que je parle comme ca ,
mais c’est mon chagrin qu’on ne voyais pas ….
Alors ils ne trouvaient pas d’ou venais Ce mal clandestin
Et voila, j’étais a peine trois ans j’étais devenue pour eux une souris d’essai
ca c’était mon destin …
pour les médicaments un essaie..
les années scolaires sont venues ,
et moi j’étais dans le coin de la cour
habillée avec ma tenue ,
sans discourt,
la toute seule ,en compagnie
de ma tristesse et ma mélancolie ,
seule une amie est venue me joindre
elle m’a dis de ne plus me plaindre
elle , elle serais la avec moi ,
dans ma tristesse et mes joies ..
tout ca a durée une dizaine d’année
des moqueurs derrière moi , des méchancetés,
leur haine a admettre, leur malveillances a accepter …
c’étais des années terribles pour moi ,
mais il n’y avais pas d’autre voie,
et j’ai continuer ..
jeune fille désormais, rentrée dans la patrie
avec mon père et ma mère et leur vie
la même histoire ici aussi
mais encore plus grave, et plus dur
j’étais devenu une adolescente ,chauve créature ..
sans chevelure ….
ma vie a coulée comme ca
enfermée en moi
peur de me faire mal, j’ai fermée mon cœur
j’ai refusée le bonheur
et me voila ici derrière un écran
pour écrire des mots, des écrits que je n’avais jamais ressenti
des poèmes , des textes qui étais toute ma vie …
après ma quarantaine tout près de ma cinquantaine
pour dire quoi , dire a qui …
une vie que je n’ai pas vécue,
un bonheur que je n’ai pas cru,
excuser moi , encore une fois
ce n’est pas un poème
ce n’est pas un texte ,
pour rêver , pour aimer
c’est une part de ma vie ,
que je n’avais jamais dis ,
la plus importante, pour une adolescente,
car j’ avais honte , pour moi un déshonneur,
je voulais en parler , et je ne voyer pas l’heure
entre mes chagrins et ma tristesse,
mes amours et ma jeunesse,
qui n’ont jamais existait,
me voila nue devant vous,
moi et ma vérité …..
ma palette et mes mots que j’ai tant aimes..
et ce que maintenant j’écris,
car quelqu’un m’as dit,
qu’il faut que je m’habitue,
il faut que mon chagrin, je le tue ….
Et après ca peut être que je vais vous quitter,
Je ne saurais jamais cacher la vérité…….
Eva……. Heureuse d’avoir connue des amis

Quand je partirais

Quand je partirais
18/08/2010
Ecrit par evangelia fourlis
Photo d’eva

Quand je partirais
Je veux des harpes et des violons
Que leurs notes sèment
Une musique enfleurée
Que tous espoirs vogue très loin a travers les forets,
Sur les libres eaux de la mer,
Et s’envolent autour de la terre
Que tout les poètes rhapsodies y posent
Aux pieds des montagnes qu’ils y apposent

Quand je partirais
ca sera une belle journée
du soleil d’ Émeraude
Et le soir étoilé en perle de diamant
Une nuit chaude…..
Le sol ne portera que leurs fruits
D’un coin secret du paradis
Et le vent du sud viendra
Torride, plein de vie …

Quand je partirais
Au loin, Quelque part,
Mes souhaits feront un arc en ciel
Pour la randonnée de notre existence
Qui a étais toujours amer et sans patience
Pour les vérités qui ne sont jamais restés
Pour toutes sincérités qui ne sont jamais aimés

Quand je partirais
Je me souviendrai du silence insondable
Des routes qui se croisaient
Avec les timides lumières qui se propageaient
Par la couronne de l'aube….
Les nuits avec des rêves cachés qui me poursuivaient …

Quand je partirais
Comme un ermite qui traversé l’ombre
Dans un soir qui était vraiment
Je me souviendrai que
J’ai rencontré pour un moment
Des parcours de l'homme dans le temps ….
Mes rêves passagers
De que tu as vêtu le cœur
Mais au fil du temps
Toutes les utopies se sont déshabillées
Et j'ai vu les mots du silence qui marchaient

Quand je partirais
Je me souviendrai avoir servi brièvement
Ma vie de femme ,
D’innombrables regards ont traversé le corps
Je me souviendrai encore
Que j’étais sœur, fille et mère
Ici sur terre

Quand je partirais
Quand le temps sera venu de m’en aller
Je me souviendrai d’une profonde tristesse
Qui a empoisonnée ma vieillesse.

Que les mots que j’ai gravés
Dans le vide S’effaceront …
Je n’ai pas mendié …..
La Restitution au milieu immortalité
Me suffit que j’aie Inscrit
Mes pensée grimpé cette falaise
Qui se nomme vie

Et des chants de la substance
Communion des sages.
Ni une larme ne s'habillent a de la douleur!
La mort de mes années enterrée de ma vie les couleurs
Mais aussi aucune ne trace de ce que j'ai aimé
Ne resteras a jamais ….

Quand je partirais
Je me souviendrai……

FLAMME DE LA VIE

dans la nuit, un éclat ….
Une flamme tremblante,
Repose hors de ma fenêtre,
Rejette mille étincelles,
Aux des couleurs de l’arc en ciel,
Elle me sourit…joue avec sa lumière...
Je la laisse pénétrer,
Dans la chambre de mon âme,
Pour y rester ..,
Et jeter tout les fantasmes
Qui envahissent mon esprit,
Détacher tout malheur de ma vie ……
Peu a peu, elle enflamme mon cœur
et l’ensorcelle avec un tendre bonheur..
Je sens mon corps léger
Prés à voler …
Elle me prit par la main
Et me mena vers le demain … le lendemain …
Pour une vie avec moins de désastres
La haut dans son astre,
M’a racontée pour l’amour
Un petit mot, le plus beau de tous les jours
Et comment dire je t’aime
Pour un amour fou qui était-elle même,
Un prince déguisé en flamme
Et qui m’a demande devenir son ame

Evan ….

pas copier sans demander l’autorisation

FLAMME DE LA VIE

FLAMME DE LA VIE

dans la nuit, un éclat ….
Une flamme tremblante,
Repose hors de ma fenêtre,
Rejette mille étincelles,
Aux des couleurs de l’arc en ciel,
Elle me sourit…joue avec sa lumière...
Je la laisse pénétrer,
Dans la chambre de mon âme,
Pour y rester ..,
Et jeter tout les fantasmes
Qui envahissent mon esprit,
Détacher tout malheur de ma vie ……
Peu a peu, elle enflamme mon cœur
et l’ensorcelle avec un tendre bonheur..
Je sens mon corps léger
Prés à voler …
Elle me prit par la main
Et me mena vers le demain … le lendemain …
Pour une vie avec moins de désastres
La haut dans son astre,
M’a racontée pour l’amour
Un petit mot, le plus beau de tous les jours
Et comment dire je t’aime
Pour un amour fou qui était-elle même,
Un prince déguisé en flamme
Et qui m’a demande devenir son ame

Evan ….

pas copier sans demander l’autorisation

Être dans une limite d’un délire,

Être dans une limite d’un délire,

ivre d’une  ébullition fervente

Qui me hante,

 Se joindre et la lune, séduire.

Dans  la beauté  du soir,

D’une lumineuse et fraîche, intensité,

Ou les étoiles tout atour de nous dance et viennent  voir,

 Plutôt qu’une effusion  avec toi  au  paradis,

Boire un nectar sucre dans un  verre de nuage,

L’essence de tes lèvres comme un mirage,

Un acte inévitable, une sensibilité d’amour,

 Un désir qui jour et nuit m’envahi.

C’est  l'amour exquis.

Un  moment de rencontre,

 Un  confort de l'âme qui m’emporte ,

Loin hors delà, dans une autre vie ,

Une vie céleste, divine ,

Mais aussi clandestine ,

Et je me laisse te rejoindre ,

Dans une satisfaction de cette frénésie ,

Qui me veux avec toi,

Nous menant à l’éden sans frontières,

Complice le silence de  l'univers.

  texte d'evangelia fourlis 

Été d’ espérance……

Été d’  espérance……

Sensations bruineux,
moments orageux,

Dans un hiver des malheureux

Séismes, incendies,

Bourrasques, tsunami,

Tout ce qu’on peut s’imaginé,

Des  souffrances, des décès

Triste hiver passé.

Alors  le froid avait  envahit nos cœur

On ne voyait pas les couleurs

Cette palette fantastique

Qui se cachait derrière ces malheurs

Une illusion mélangée avec amour et tendresse

Qui relie le rire et les pleurs

De toutes personnes, de toutes âmes

Sois être homme ou femme,

Été d’  espérance

Toi qui viens  avec désir

Avec toute aspiration et soupir

Toi de nos rêves, la tension d’un chaud délire

Mène avec toi  tous souhaits

D’un monde plus heureux

Et lance l’amour de l’amitié

 Dans tous les cœurs malheureux

                                              
Texte : evangelia fourlis

Pht: evangelia fourlis

…….Je t’imagine……

…….Je t’imagine……

Texte ecrit par evangelia fourlis

Pht realise par evan

je te suppose avec ta palette
au coin de la fenêtre
mettre tes couleurs
du printemps le bonheur
et moi avec mes mots ...

Les soulignant sur un parchemin

Remplit de maux,

On mélangera les chagrins et les peines

Les malheurs de nos haines

Et les tristes moroses jours de nos vies

Arracherons leurs mélancolies

De nos esprits, nos corps et nos destins

Qui nous conduiras dans un autre chemin,

Un chemin d’amour,

Pour réjouir nos jours,

Une avenue dressait de tendresse

Pour plaire a notre vieillesse,

Un monde remplit de passion

qui sera envahie d’affection..

Je t’imagine avec ta palette
au coin de la fenêtre
mettre tes couleurs
du printemps le bonheur
et moi qui te regarde la haut sur mon nuage

Prêt pour le grand voyage

Je te laisse mon âme pour souvenir

Et prenant avec moi un de tes sourires
je dessine mes reves et mes maux
je vague dans la mer
tout au long de la terre ...

je te suppose…… Je t’imagine avant de mourir……

Amour

Amour
 L'archipel ,l'arc des flots écumant
 Et le rêve de goélands
 Le mât le plus grand des vagues marin
 Une chanson qui n’as pas de fin
Amour
chanson
 Et les horizons de son voyage
 de l'écho de la nostalgie
 Dans la plupart des roches de croisement
 et l’attente d’une fiancée
 Un bateau
une croisière qui s'amuse
sur  la négligence des vents
en espérant que la flèche de la muse
La plus légère des vagues d'un îlot rocheux,
Le rend heureux .
Amour, l’archipel de toujours!!!!!!!!!!!!!!!!!!
eva..............

la clef de mon cœur

15/04/2010

Ecrit par evangelia fourlis

J’ai perdu la clef de mon cœur,

Le passe partout de mon bonheur,

Dans un voyage dans l’océan,

Séparer d’herbe sauvage

 Entre la terre et le soleil brulant.

J’ai perdu la clef de mon âme,

Le rossignol de mon esprit,

Qui étais toute ma vie.

Je suis monté a la montagne,

Pour la retrouver cachée dans la campagne,

Mais Au bout du chemin  restant,

Elle s’est envole avec un nuage blanc,

Altostratus de mon cœur,

Stratus de mon bonheur,

Prend moi avec toi,

Cumulus de ma tendresse,

Nimbus de ma jeunesse,

Lance ton voile fibreux,

pour que je monte vers toi …

J’ai perdu la clef de mon cœur,

Le passe partout de mon bonheur,

Un matin sans soleil,

Au pied de mon réveil,

Lune jalouse de ma vie,

Regarde l’astre qui te sourit,

Laisse s’illuminé le ciel,

Redonne a cette étoile,

L’influence rayonnante sur son voile

Et qu’elle remet la lueur a notre arc en ciel...

J’ai retrouvée la clef de mon cœur,

Le rossignol de mon bonheur.

Elle était la cachée,

Dans le royaume des fantômes,

Elle avait peur de sortir,

Elle avait peur de sourire.

Je lui ais dit de venir,

Et de cet endroit de partir,

Je lui ais tendu la main,

Pour un meilleur lendemain,

Et la chaleur de mon cœur,

Est revenue en moi,

M’a redonné le bonheur

Qui étais partit très loin de moi ….

INTRUCTION DE LA VIE....2

Lorsque vous perdez,
ne perdez pas la leçon.
Souvenez-vous des trois R :
le Respect de vous-même,
le Respect des autres,
la Responsabilité pour vos propres actions.
Ne laissez pas une petite dispute
ruiner une grande amitié.
Lorsque vous réalisez que vous avez commis une erreur,
prenez immédiatement les devants pour corriger la situation.
Souriez lorsque vous répondez au téléphone.
Votre interlocuteur entendra votre sourire dans votre voix.

Passez du temps seul.
Ouvrez les bras au changement,
mais ne laissez pas vos valeurs se dérober à vous.
Souvenez-vous que le silence
est parfois la meilleure des réponses.
Lisez plus de livres, regardez moins la télévision.
Vivez une vie honorable et bonne. Ainsi, lorsque vous serez âgé,
vous pourrez l'apprécier une seconde fois.
Une atmosphère aimante dans votre maison
est ce qu'il y a de plus important.
Faites tout en votre pouvoir pour faire de votre maison
un lieu harmonieux et tranquille.
Dans les désaccords avec ceux que vous aimez,
ne parlez que de la situation en litige. Ne déterrez pas le passé.
Apprenez à lire entre les lignes.
Partagez vos connaissances. C'est un pas vers l'immortalité.
Soyez doux avec la terre.
Priez. Le pouvoir de la prière est incommensurable.
N'interrompez jamais quelqu'un qui vous flatte.
Occupez-vous de vos propres affaires.
Une fois par an, allez quelque part où vous n'êtes jamais allé.
Si vous faites beaucoup d'argent,
utilisez-le pour aider les autres.
Souvenez-vous que de ne pas obtenir ce que vous désirez
est parfois un coup de chance.
Apprenez les règles, puis contrevenez à quelques-unes.
Souvenez-vous que la meilleure relation est celle où votre amour
l'un pour l'autre est plus grand que votre besoin l'un de l'autre.
Jugez votre succès par ce que vous avez dû
laisser tomber pour y arriver.
"Souvenez-vous que votre caractère est votre destinée."

Ecrit d’evan

INTRUCTION DE LA VIE....1

Pour le bonheur de la vie
Et quelques sourires, tout petit
Une petite pensée de la journée....
comme ca, pour bien commencer
Donner aux gens plus que ce qu'ils s'attendent
et faites-le avec joie, sans rien prendre.

Mémorisez votre poème préféré.
Ne croyez pas tout ce que vous entendez,
ne dépensez pas tout ce que vous avez,
ne dormez pas autant que vous le voulez.

Lorsque vous dites « Je t'aime »,
dites-le avec franchise.
Lorsque vous dites « Je m'excuse»,
regardez la personne dans les yeux.

Croyez au coup de foudre,
croyez à l'amour du premier regard.
Ne riez jamais aux rêves d'autrui.
Regardez la lune au fond de la nuit
Aimez profondément et passionnément.
Vous risquez peut-être de souffrir
mais c'est la seule façon de vivre
sa vie pleinement.
Dans les désaccords, battez-vous
de façon juste, sans insulte.
Ne jugez pas les gens d'après leur parenté.
Parlez lentement, mais pensez vite.
Lorsque quelqu'un vous pose une question
que vous préférez ne pas répondre,
répondez en lui demandant
« Pourquoi veux-tu savoir cela? »
Souvenez-vous que le grand amour
et les grands accomplissements
impliquent de grands risques. 

Les yeux de mon âme pleurent

Ecrit par evangelia fourlis

Écrire des mots de douceurs,

Quand les yeux de mon âme pleurent.

Leur larmes coulent et brulent mon cœur,

Et efface la passion de tout le bonheur,

Quant les cloches chantent aux rythmes lugubres de la mort,

Dans tout l’univers du chaos qui dort

Que dire pour la joie de mon esprit

De mon amour pour la tendresse sans vie

ou les mondes rage,

Derrière un masque doux et sauvage.

Oh! Être humain, Chante des litanies sombres,

Pour réveiller les ombres,

Celle qui part sans te le demander,

Et pourtant tu les as tant aimées.

Oh ! Être humain, cris ton désespoir,

Tout juste pour les revoir,

Et vivre les années,

Que tu avais manquées.

J’invite la mélancolie,

Et la tristesse de ma vie

Qu’elles remplissent mes jours funèbres..

J’appelle aussi les étoiles et les dieux du ciel,

De nous montrer leur arc en ciel.

Oh ! Être humain, arrête de pleurer,

Un autre destin va arriver,

Plein de sourire et de bonheur,

Pour remplir ton âme et ton cœur..

j'ai cru rêver

Texte d’ evangelia fourlis


Étant tombée dans un fond sommeille
j'ai cru rêver sous les rayons du soleil
des ondes sortaient de la lune la lumière
et des étincelles tout autour des étoiles et de la terre....
J’ai cru rêver allongée sur des bleu nuages
Un bleu d'azur qui attachait la mer sur son passage......

Au loin, un cercle doré faisait une pirouette
En laissant distinguer tout faiblement une blanche ombre comme une petite alouette
J’ai cru rêver derrière mes pensées .....
des pensées fortes et dirais-je aussi sensible
qui pouvais le cœur m'arracher ......
Auparavant tout étais sombre, gris- noir
Comme un corbeau qui sur sa proie qui tombe le soir ....
Mais j'ai cru rêver ........
D’un ange avec des ailes
Comme une hirondelle ......
Alors les sanglots de mes yeux noircie
Se sont séchés avec son sourire de la vie ....
Et m'a soulagé de mon inquiétude
Qui se dessinait sur mon visage rude .....
mais ...
j'ai cru ...
avoir..
Rêvé...
La au bord de la mer…
Ou je me suis réveillé .........
Et l'ange a moi au dessus …
qui me souriait.....

A-B-C

E-nterrée a jamais, perdue dans mes ailes
V-erts mes rêves abandonnée prés des rivages
A-moureuse de mes parures transformés en nuages
N-ourrit par l’ Ambroisie venu du ciel
G-uidée par les dieux qui lancent leur étoile
E-liquibré de mon ombre qui veille
L-umiere sombre du rêve et de mon voile
I-magine ma toile!
A-mour toi qui dans mon cœur sommeille………

F-erveur passionnée de mon ardeur
O-rdonne mon esprit de ma peur
U-tilise la mort de mon ame
R-etablie le corps de la femme
L-ueur de ma nuit l’aurore
I-nvente de la couleur le corps !!!!
A-mour toi qui dans mon cœur dort………

Je voudrais bien me reposer

 texte d'avangelia fourlis

Je voudrais bien me reposer 
je voudrais bien me laisser aller
dans mes nuages 
avec ma sœur en voyage 
faire le tour de ma terre 
le tour de mon enfer....

Un enfer doux 
ou tout les enfants jouent
un paradis dur 
qui te frappe contre le mur

Je voudrais noyer mes problèmes 
dans les sanglots de ma mer 
mettre mon drapeau au sommet de dieu
avec la même couleur de mes yeux

Je voudrais écrire dans la nuit
tout prés de l'étoile de la vie 
des mots avec l'encre de mon sang 
mais un seul me vient pourtant ...

Le seul qui tourne en ronde 
dans mon cœur, mon esprits et tout le monde
celui qui tourmente mes maux 
celui qui traine toujours sur mon dos ...

Il embrasse mon corps 
comme un mauvais sort
il enlace mon âme 
comme un fantasme

Il engage mon sourire 
et restera la 
jusqu'au dernier soupir 
mon mot "pourquoi "

oui , je voudrais !!!!